9 juill. 2015

Les animaux sauvages dans les villes

Les ours en ville

Qui n'a pas entendu parler de ces bébés-ours, dans la province de Colombie Britannique. Ce phénomène des animaux sauvages en ville, risque de se passer souvent durant les prochaines années au Québec. 




C'est grâce au vieillissement des chasseurs et à l'augmentation récente du prix des permis qui décourage les jeunes chasseurs. 

Au Québec, de récents cas d'animaux sauvages errant en milieu urbain, soulèvent certaines questions quant à la gestion de ces incidents, qui peuvent mettre en péril la sécurité du public. Souvent, la Sureté du Québec doit intervenir, en raison d'un nombre insuffisant d'agents de la faune. 


La diminution des chasseurs

La diminution du nombre des chasseurs est le résultat du vieillissement de la population. Les chasseurs ne sont pas exempts de vieillir. Le nombre de permis de chasse, dans toutes les catégories, risque de subir une diminution radicale avec les années.




Dans le moment, il s'agit d'une légère augmentation pour les résidents, surtout que les permis aux non-résidents ont diminué de moitié depuis quelques années. 

L'augmentation est surtout attribuable aux nouveaux retraités qui se familiarisent avec la chasse et au grand nombre de jeunes qui s'inscrivent aux cours de sécurité. 

L'augmentation des prix des permis

La récente augmentation ''qu'on pourrait qualifier de radicale'' des permis de chasse, risque de décourager les plus agés et les plus jeunes de se préparer pour la chasse.



Cette augmentation élevée ''sans précédent'', pourrait signifier le deuil de la chasse pour plusieurs retraités plus agés, dont les revenus sont plus modestes. Même les jeunes chasseurs, qui s'inscrivent en grande quantité aux cours de sécurité, risque de trouver les prix des permis trop élevés.

Un nombre trop élevé d'accidents

La conséquence la plus remarquée, est peut-être le nombre d'accidents de la circulation qui augmenteront plus que proportionnellement, suite au vieillissement de la population, de même qu'au retrait de la chasse des chasseurs plus agés. Il se récolte habituellement plus de 75 000 gros gibiers par année au Québec, selon les statistiques du MFFP. 


Dans un article précédent, je certifiais que les chasseurs protègent les populations civiles. On peut lire cet article sur ce site: http://nanookqc.blogspot.ca/2014/07/les-chasseurs-vous-protegent.html.

C'était l'opinion du bloggeur en ce 9 juillet 2015.

André Nanook Simard   

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