On peut être pour le registre des armes à feu et être chasseur de chevreuil. Les chasseurs de chevreuils qui suivent ce ''blog''ont tous respecté les Lois en vigueur depuis le début des opérations du registre canadien des armes à feu.
Les chasseurs ont divulgué toutes sortes d'informations personnelles les concernant, à la Sureté du Québec et au registre canadien des armes à feu. Les chasseurs ont ainsi fait preuve d'une transparence exemplaire en remplissant les divers formulaires d'inscription pour pouvoir obtenir et posséder une arme à feu.
Cependant, alors que les propriétaires d'armes à feu faisait preuve de cette grande transparence, les agitateurs du lobby pour le registre des armes à feu (surtout québécois) cachaient et cachent encore des éléments importants de preuve aux politiciens chargés de mettre le registre québécois sur pieds.
Alors que le registre canadien est pour ainsi dire disparu de l'horizon, les lobbyistes pour le maintien d'un registre québécois manifestent encore pour le transfert des données du registre canadien. Mais les lobbyistes ne nous disent pas que les auteurs de ces massacres étaient tous sur médication. Les lobbyistes québécois continuent à garder le silence sur le fait que les divers auteurs de ces drames épouvantables étaient tous sur médication pour des troubles mentaux.
Un lobby qui ne dit pas tout
Le lobby pour le registre québécois des armes à feu ne dit pas tout ce qu'il sait. Depuis le massacre de Newtown au Connecticut, j'ai tenté d'avoir plus d'informations sur ce massacre, ainsi que sur quelques drames semblables qui ont eu lieu aux États-Unis depuis plusieurs années.
Sur l'affaire de Newtown, les médias ont rapporté discrètement qu'avant le drame, l'auteur de la tuerie avait été traité pour des problèmes de santé mentale. Ce qui veut dire que le jeune homme était soumis à une médication psychiatrique quelconque. Est-ce que cette médication ou son absence provoquée, a eu une influence logique sur le changement de comportement subi de l'auteur du drame ?
Sur le massacre de Columbine en 1999, l'auteur du drame Eric Harris prenait du Luvox. Voici d'ailleurs l'avertissement et la mise en garde que Santé Canada adresse aux professionnels de la santé concernant ce produit:
Je n'ai pas vraiment besoin d'ajouter un commentaire.
Même chose sur le massacre de Stockton en Californie en 1989, l'auteur du drame Purdy était sur l'Amitriptyline et sur la Thorazine.
Voici ce qu'on dit sur ces médicaments: On utilise l'amitriptyline pour traiter la dépression. Celle-ci se caractérise par une modification de l'humeur et de l'activité . La Thorazine est une drogue anti psychotique de bas-pouvoir. Utilisé dans le traitement de la pensée désorganisée et psychotique.
Autres drames semblables et les médicaments utilisés:
En 1998, à Springfield, Ma, Kip Kinkel était sous prescription de Prozac et de Ritalin.
En 1988, à Winnetka, Ill. Laurie Dann était sous l'influence d'Anafranil et de Lithium.
En 1997, à Paducah, Ky, Michael Carneal était traité avec du Ritalin.
En 2005, au Minnesota, Jeff Weise était sous l'influence de Prozac.
En 1989, à Louisville, Ky. Joseph Wesbecker étais sous prescription de Prozac.
En 1981, John Hinckley a pris 4 comprimés de Valium avant de tirer le Président Reagan.
Un extrait du procès de Hinckley
The government's psychiatric team diagnosed Hinckley as suffering from dysthymic disorder, or depressive neurosis, and three types of personality disorders--schizoid, narcisstic, and mixed--the last with borderline and passive-aggressive features. The team also found evidence of alleged schizoid personality disorder, marked by emotional coldness and aloofness, an indifference to the feelings of others, and an absence of close relationships.
Que le lobby l'admette ou pas, il y a trop de cas de drames aux États-Unis, dont les auteurs avait des problèmes de santé mentale. Dans tous ces cas, il faut seulement se demander si les médications prescrites n'ont pas poussé ces malades mentaux au delà de leur propre limite et engendré la violence.
Encore une fois, je demande respectueusement aux lobbyistes québécois de nous dire la vérité à propos des drames québécois. Est-ce que les auteurs des drames québécois étaient sous forte médication psychotique ? À la fin, au lieu de se demander, quel type d'arme les auteurs de ces massacres ont-ils utilisé, il faudrait se demander plutôt, quel type de prescription ont-ils pris avant le massacre ? Le lobby pour le registre québécois peut sans doute répondre à ces questions pertinentes.
Les chasseurs ont divulgué toutes sortes d'informations personnelles les concernant, à la Sureté du Québec et au registre canadien des armes à feu. Les chasseurs ont ainsi fait preuve d'une transparence exemplaire en remplissant les divers formulaires d'inscription pour pouvoir obtenir et posséder une arme à feu.
Cependant, alors que les propriétaires d'armes à feu faisait preuve de cette grande transparence, les agitateurs du lobby pour le registre des armes à feu (surtout québécois) cachaient et cachent encore des éléments importants de preuve aux politiciens chargés de mettre le registre québécois sur pieds.
Alors que le registre canadien est pour ainsi dire disparu de l'horizon, les lobbyistes pour le maintien d'un registre québécois manifestent encore pour le transfert des données du registre canadien. Mais les lobbyistes ne nous disent pas que les auteurs de ces massacres étaient tous sur médication. Les lobbyistes québécois continuent à garder le silence sur le fait que les divers auteurs de ces drames épouvantables étaient tous sur médication pour des troubles mentaux.
Un lobby qui ne dit pas tout
Le lobby pour le registre québécois des armes à feu ne dit pas tout ce qu'il sait. Depuis le massacre de Newtown au Connecticut, j'ai tenté d'avoir plus d'informations sur ce massacre, ainsi que sur quelques drames semblables qui ont eu lieu aux États-Unis depuis plusieurs années.
Sur l'affaire de Newtown, les médias ont rapporté discrètement qu'avant le drame, l'auteur de la tuerie avait été traité pour des problèmes de santé mentale. Ce qui veut dire que le jeune homme était soumis à une médication psychiatrique quelconque. Est-ce que cette médication ou son absence provoquée, a eu une influence logique sur le changement de comportement subi de l'auteur du drame ?
Sur le massacre de Columbine en 1999, l'auteur du drame Eric Harris prenait du Luvox. Voici d'ailleurs l'avertissement et la mise en garde que Santé Canada adresse aux professionnels de la santé concernant ce produit:
Je n'ai pas vraiment besoin d'ajouter un commentaire.
Même chose sur le massacre de Stockton en Californie en 1989, l'auteur du drame Purdy était sur l'Amitriptyline et sur la Thorazine.
Voici ce qu'on dit sur ces médicaments: On utilise l'amitriptyline pour traiter la dépression. Celle-ci se caractérise par une modification de l'humeur et de l'activité . La Thorazine est une drogue anti psychotique de bas-pouvoir. Utilisé dans le traitement de la pensée désorganisée et psychotique.
Autres drames semblables et les médicaments utilisés:
En 1998, à Springfield, Ma, Kip Kinkel était sous prescription de Prozac et de Ritalin.
En 1988, à Winnetka, Ill. Laurie Dann était sous l'influence d'Anafranil et de Lithium.
En 1997, à Paducah, Ky, Michael Carneal était traité avec du Ritalin.
En 2005, au Minnesota, Jeff Weise était sous l'influence de Prozac.
En 1989, à Louisville, Ky. Joseph Wesbecker étais sous prescription de Prozac.
En 1981, John Hinckley a pris 4 comprimés de Valium avant de tirer le Président Reagan.
Un extrait du procès de Hinckley
The government's psychiatric team diagnosed Hinckley as suffering from dysthymic disorder, or depressive neurosis, and three types of personality disorders--schizoid, narcisstic, and mixed--the last with borderline and passive-aggressive features. The team also found evidence of alleged schizoid personality disorder, marked by emotional coldness and aloofness, an indifference to the feelings of others, and an absence of close relationships.
Que le lobby l'admette ou pas, il y a trop de cas de drames aux États-Unis, dont les auteurs avait des problèmes de santé mentale. Dans tous ces cas, il faut seulement se demander si les médications prescrites n'ont pas poussé ces malades mentaux au delà de leur propre limite et engendré la violence.
Encore une fois, je demande respectueusement aux lobbyistes québécois de nous dire la vérité à propos des drames québécois. Est-ce que les auteurs des drames québécois étaient sous forte médication psychotique ? À la fin, au lieu de se demander, quel type d'arme les auteurs de ces massacres ont-ils utilisé, il faudrait se demander plutôt, quel type de prescription ont-ils pris avant le massacre ? Le lobby pour le registre québécois peut sans doute répondre à ces questions pertinentes.
C'était juste mon opinion.
André Nanook Simard
P.S.: envoyez un courriel ou cet article à la Première Ministre du Québec Pauline Marois à l'adresse suivante:
https://www.premier-ministre.gouv.qc.ca/
P.S.: envoyez un courriel ou cet article à la Première Ministre du Québec Pauline Marois à l'adresse suivante:
https://www.premier-ministre.gouv.qc.ca/
Aucun commentaire:
Publier un commentaire