Tous ces braves députés voulaient instituer un registre des armes à feu, qui va coûter aux québécois des millions de dollars. Au lieu d'associer la chasse aux gros gibiers, à une activité dépassée et les armes à feu comme une menace de violence, nos nouveaux députés et nos nouveaux ministres devraient plutôt voir les chasseurs comme une source inépuisable de revenus et/ou de réduction de dépenses.
Rapport de la SEPAQ
La SEPAQ dans un rapport disait au mois d'avril 2002:
''La mise en valeur de la faune et de ses habitats permet une injection dans l’économie du Québec évaluée à $1.4 milliard annuellement''. Mais je trouve que personne n'a encore évalué, les épargnes que le gouvernement du Québec réalise en favorisant ouvertement la chasse.
La contribution des chasseurs
1- Les chasseurs sauvent vraiment des vies en récoltant près de
75 000 gros gibiers à chaque année. Tous ces animaux se retrouveraient sur nos autoroutes et sur nos routes de campagne affectant la vie de centaines de milliers de personnes.
2- Les chasseurs épargnent ainsi plus d'un $1 milliard dans les urgences des hôpitaux, en évitant des accidents de voitures et de camions, dont les conducteurs et les passagers se retrouveraient sans doute aux urgences des hôpitaux.
3- Les chasseurs contribuaient plus de $1.4 milliard à l'économie en 2002, en dépensant pour leurs équipements sur lesquels la taxe s'applique, sur leur essence, sur leurs repas et sur leurs nuitées dans les hôtels des régions éloignées, chez la SEPAQ et chez les pourvoyeurs spécialisés. Et c'était en 2002, c'est sûrement rendu à plus de $2 milliards en 2014.
Il serait peut être temps que le Conseil des Ministres reconnaisse la contribution des chasseurs, qui n'est pas seulement pour l'économie québécoise en termes de ''dollars'', mais que ces chasseurs sauvent vraiment des vies en récoltant ces 75 000 gros gibiers à chaque année.
C'est l'opinion du bloggeur en ce 24 avril 2014.
Ceci est le 900e article sur le sujet de la chasse au chevreuil à l'arc.
André Nanook Simard
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