12 mai 2014

L'intérêt pour la chasse diminue

Bambi le chevreuil

Ce ne sont pas seulement les enfants qui regardent les films de ''Bambi'', qui sont responsables du déclin de l'intérêt pour la chasse. Le Québec rural est de moins en moins relié à son territoire et à la nourriture dont il en tirait sa subsistance.



De nos jours, le mot ''nature'' est plus associé, avec le parc construit par la ville et/ou avec le sentier ''naturel'' pour promener les chiens. Aujourd'hui nous traitons généralement les chasseurs comme des criminels en puissance et/ou des sauvages primitifs qui détestent les animaux.

Les Lois québécoises

Les lois québécoises ne reconnaissent aucun droit aux animaux qui sont chassés. Les personnes qui leur en accordent selon leur morale personnelle, sont en général les personnes qui ont des animaux de compagnies.




Cette loi a pour objet la conservation de la faune et de son habitat, leur mise en valeur dans une perspective de développement durable et la reconnaissance à toute personne du droit de chasser, de pêcher et de piéger, conformément à la loi.  

Il se peut que pour certaines personnes, l’idée de récolter un chevreuil à l'arc comme ''passion'' ne soit plus du tout acceptable. Selon la vision des québécois, les intérêts des êtres humains sont plus importants que ceux des animaux. C'est pourquoi le Québec moderne semble si divisé face à la chasse. 

C'est l'opinion du bloggeur en ce 12 mai 2014.


André Nanook Simard

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