En 2014, il s'est vendu 533 848 permis de chasse aux résidents du Québec. Tous ces chasseurs ont chassé le gros gibier et le petit gibier, au Québec avec une arme à feu.
Avec toutes ces chasseurs avec une arme à feu, il n'y a pas eu de tuerie. Pourtant en 2013, il s'était vendu 535 929 permis de chasse aux résidents du Québec. Depuis 2006, il se vend au dessus de 500 000 permis de chasse. Pourtant avec ce nombre effarant de chasseurs dans les bois, il n'y a pas d'accident et pas de tuerie.
Peu importe où ça se passe dans le monde, les chasseurs qui ont des armes à feu, ne sont pas responsables des tueries. C'est une preuve incontestable que les chasseurs ne représentent pas un problème, ni les armes à feu qu'ils possèdent d'ailleurs.
En Suisse
En Suisse, chaque citoyen est considéré comme un défenseur de la patrie. Les hommes en âge de service militaire, possèdent même un fusil de guerre à leur domicile.
Chacun peut aller au club de tir, pour apprendre le maniement des armes. Si on ajoute les chasseurs, cela fait un bon nombre de personnes (en Suisse) qui savent manier les armes. Le taux de criminalité est tellement bas, qu'il fait honte au Québec et au Canada dans les statistiques. Les chasseurs avec une arme à feu sont tellement honnis au Québec, par les députés et les bienpensants, que ceux-ci rêvent de faire interdire les armes à feu.
On pourrait se demander si une totale interdiction des armes à feu est désirable. Il faudrait voir ce qui s’est passé dans les pays, qui ont décidé d'appliquer une telle interdiction. Le crime a-t-il diminué ?
Prenons l'exemple des deux meurtres d'enfants (un sujet à l'ordre du jour) commis à l’aide d’un couteau de cuisine. Penserions-nous à interdire tous les couteaux de cuisine dans la population ? Quels cris prolongés assourdissants et désagréables, auxquels les chasseurs auraient eu droit, si une arme à feu avait été utilisée pour commettre ce crime odieux ?
C'était l'opinion du blogueur en ce 31 octobre 2015.
André Nanook Simard
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