La plupart des provinces et des
états américains offrent maintenant, des saisons de chasse à l'arc,
au tout début de la saison de chasse au chevreuil. Au cours des
dernières années, la saison de chasse à la fin de septembre, a
offert une température anormalement chaude.
Au cours des 25
dernières années, j'ai étudié ce phénomène de température
''chaude''. Les chevreuils doivent sûrement avoir un instinct de base, qui
leur permet de détecter l'augmentation ou la chute de la pression
atmosphérique. Par conséquence les chevreuils augmentent leurs
déplacements pour se nourrir, avant que le mauvais temps arrive. Les
chevreuils comme tous les animaux, sont très sensibles aux
variations de la pression barométrique.
La pression atmosphérique correspond à la
pression de l'air en un point quelconque. On mesure la pression
atmosphérique à l'aide d’un baromètre. La pression atmosphérique
normale, au niveau de la mer, est de 101,3 kPa. La pression
atmosphérique varie d’un endroit à l’autre.
L’air
froid a une masse volumique plus grande que l'air chaud. Ceci
signifie que pour un même nombre de particules, l'air froid occupera
un plus petit volume que l'air chaud. L’air
froid aura alors tendance à être plus lourd et à tomber vers le
sol, alors que l’air chaud aura tendance à être plus léger et à
s’élever dans les airs.
Les
chevreuils ne peuvent tout simplement pas fonctionner par temps très
chaud. Les chevreuils se déplacent très peu pendant une basse
pression, dans la pluie ou dans la neige. L'activité
des chevreuils augmente considérablement si les températures de
l'air ambiant, correspondent à leur zone de confort. Les chevreuils
ne peuvent tout simplement pas fonctionner, par une température de
grosses chaleurs.
C'était l'opinion
du blogueur en ce 20 mars 2016.
André Nanook Simard
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