Il était tard en septembre dans le sud du Québec. Les
feuilles des arbres ont disparu depuis quelques jours. Il
pleuvait presque quatre (4) jours successivement. Maintenant,
il faisait noir à l'extérieur et il ventait fort. Je l'entendais
dans les fenêtres du véhicule récréatif. Puis la pluie a commencé
à tomber sur le toit du campeur.
Je me levai lentement et
je respirais l'air frais et humide à l'intérieur du véhicule
récréatif. Je m'habille toujours en camouflage quand je vais
chasser.
Mes yeux bleus sont devenus étranges quand je regardais à travers la pluie. Après quelques instants, je commençais à marcher en longues enjambées, plaçant sans bruit mes bottes en caoutchouc sur les feuilles humides. Des années d'expérience m'avaient appris, à m'accroupir comme un prédateur. Je ne suis jamais pressé à la chasse, car je suis un retraité.
Mes yeux bleus sont devenus étranges quand je regardais à travers la pluie. Après quelques instants, je commençais à marcher en longues enjambées, plaçant sans bruit mes bottes en caoutchouc sur les feuilles humides. Des années d'expérience m'avaient appris, à m'accroupir comme un prédateur. Je ne suis jamais pressé à la chasse, car je suis un retraité.
Je
ne manque jamais l'occasion d'observer les animaux. Je trouve que les
observer dans leur habitat naturel est le fait saillant de chaque
chasse. Et dans plus de trente ans de chasse au chevreuil, j'ai
plusieurs chevreuils à l'arc à mon crédit.
Je me suis mis à marcher. Après quelques instants, j'ai commencé à marcher le long du sentier menant à mon poste d'affut. J'ai monter sur mon poste d'affut et j'ai mis mes accessoires en place. Puis je remontai mon arc et je l'ai mis sur son support. Comme j'enclenchais une flèche, j'ai entendu un bruit. J'étais totalement invisible sur le poste d'affut. Le son me défiait. J'ai orienté mes yeux vers le bruit, en s'appuyant sur mon dos. Puis je vis une femelle-chevreuil dans mes appâts.
J'étire mon arc sans bruit et je vise la zone vitale. Seul un chasseur à l'arc peut ressentir une telle magnificence et une telle douceur à la chasse. Je me sentais comme un bénéficiaire privilégié, d'avoir un aussi beau chevreuil à portée de tir. Il ne faut surtout pas retirer cette belle sensation de la chasse.
Je me suis mis à marcher. Après quelques instants, j'ai commencé à marcher le long du sentier menant à mon poste d'affut. J'ai monter sur mon poste d'affut et j'ai mis mes accessoires en place. Puis je remontai mon arc et je l'ai mis sur son support. Comme j'enclenchais une flèche, j'ai entendu un bruit. J'étais totalement invisible sur le poste d'affut. Le son me défiait. J'ai orienté mes yeux vers le bruit, en s'appuyant sur mon dos. Puis je vis une femelle-chevreuil dans mes appâts.
J'étire mon arc sans bruit et je vise la zone vitale. Seul un chasseur à l'arc peut ressentir une telle magnificence et une telle douceur à la chasse. Je me sentais comme un bénéficiaire privilégié, d'avoir un aussi beau chevreuil à portée de tir. Il ne faut surtout pas retirer cette belle sensation de la chasse.
C'était l'opinion du
blogueur en ce 16 juin 2016.
André Nanook Simard
Aucun commentaire:
Publier un commentaire