25 févr. 2019

Le diplôme universitaire

Pas besoin d'un diplôme universitaire 


Pas vraiment besoin de diplôme universitaire, pour comprendre les raisons, qui motivent les politiciens québécois à prendre des décisions. Depuis l'invention des sondages, la plupart des politiciens naviguent leurs années au pouvoir, avec le pouls de la population.



Si la majorité d'une population, est en faveur d'une certaine politique, vous pouvez être assuré que cette politique verra le jour, sous forme de Loi. C'est particulièrement, ce qui se passe dans le cas du ''Registre des armes à feu''. Pas besoin d'un diplôme universitaire, pour comprendre ça !!!

En cas d'élection


C'est connu, les politiciens veulent se faire réélire, surtout s'ils sont au pouvoir. Alors, ils mandatent les firmes de sondages, de prendre l'opinion de la population, dans certain comtés particuliers. Dans les comtés où les résultats de la dernière élection ont été serrés, les politiciens calculent que, s'ils sont capables de renverser l'opinion de + ou - 100 électeurs dans ces comtés, ils vont sortir gagnant de la prochaine élection. 


Comme les firmes de sondages, l'ont pris dans Montréal ou Québec, dans l'histoire du registre des armes à feu,


 Vous l'avez dans le mille....le registre des armes à feu peu importe le coût !!!

Une rapidité du tonnerre 

Ce même gouvernement n'a pas été aussi pressé de régler le cas des urgences. Ce même gouvernement, n'a pas réglé les trop nombreux cas de décrocheurs scolaires, aussi rapidement. Mais ces deux (2) sujets, ne font pas ré-élire un gouvernement qui a soif de pouvoir. 

La rapidité dont ce gouvernement a fait preuve, pour ''sortir'' sa Loi sur le registre québécois des armes à feu, est une preuve de plus que ce gouvernement est pressé. Il doit avoir hâte de voir les prochains sondages, car les élections s'en viennent à grand pas. 


  

Il y a environ entre 300 000 et 400 000 chasseurs et propriétaires d'armes à feu au Québec, ils peuvent faire une différence aux prochaines élections, en ne votant pas pour les partis, qui prônent un registre québécois des armes à feu. Si c'est le cas, nous pourrions voir une Assemblée Nationale, très différente que celle que nous avons maintenant. 

C'était l'opinion du blogueur en ce 25 février 2019.

André Nanook Simard

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