Il existe de nombreuses réserves d'autochtones au Québec. La plupart de ces réserves sont aux prises avec des problèmes sociaux de consommation et de violence conjugale. Ces autochtones semblent être un peu perdus sur leur réserves trop étroites. Pourquoi ne pas les utiliser sur tout le territoire comme ''protecteurs'' et/ou inspecteurs de l'environnement et de la faune.
Je demeure persuadé qu'après leur avoir offert ce rôle, ils l'accepteraient avec enthousiasme. Avec une rapide formation, le gouvernement du Québec pourrait les lancer dans la nature, pour vérifier que les règles pour protéger l'environnement sont bien suivis et pour empêcher que la faune soit exploitée de façon inappropriée. Judicieusement équipés et adéquatement supervisés, ils pourraient rendre de nombreux services en occupant le territoire.
La problématique des ''indiens''
Je considère que l'envoi des ''indiens'' dans la nature, pour plusieurs mois pendant l'été et/ou pendant l'hiver, serait de nature à leur redonner le rôle de protecteurs de la nature, comme ils se proclament depuis des décennies. Finalement quel moyen merveilleux de les retourner intégrer le marché du travail avec un objectif commun très ambitieux.
Finalement le ''monde entier'' regarderait le Québec avec des yeux neufs. Un Québec qui sait innover pour régler un problème qui affecte toutes les sociétés de l'Amérique du Nord.
J'invite le gouvernement du Québec à se pencher sur cette solution d'avenir. J'invite aussi les communautés autochtones à faire des pressions auprès du gouvernement pour préparer cette éventualité.
André Nanook Simard
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