8 févr. 2019

Trop de mains liées

Plusieurs intéressés


Plus d'une fois, j'ai visionné des sites, sur l'internet québécois, qui arboraient une liste importante de commanditaires. 

Je me suis toujours demandé, qu'elle était l'attitude d'un rédacteur de site internet, face aux articles d'évaluation, qu'il écrit lui-même, sur les produits vendus par les commanditaires de son site. 

Évidemment, on peut se demander, quels sont les avantages qu'il retirera, aussi pour des articles écrits, dans le but de promouvoir les politiques, de diverses organisations gouvernementales. 


Je suis particulièrement concerné, par ces partenaires importants québécois, de type gouvernemental, qui supportent par leurs publicités, certains sites internet reliés à la chasse.

Dans mon esprit, de rédacteur de ''blog'', si je supporte un site, je me lie les mains moi-même.  

Remarquez que c'est probablement, une stratégie gagnante. C'est sans aucun doute, dans mon esprit en tout cas, un moyen astucieux d'imposer un carcan, comme le commanditaire le veut.

Le commanditaire impose un carcan

En effet dans mon esprit, un site internet qui accepte contre rémunération, certains commanditaires, n'a plus les mains libres. Fort de l'adage bien connu: ''un chien ne mord pas la main qui le nourrit'', je demeure persuadé, que c'est souvent le cas.

Il suffit de lire sur plusieurs sites québécois, pour se rendre compte que ces sites ont des commentaires très favorables, envers les produits et services de leurs commanditaires.

Sont-ils malhonnêtes, pour autant ? À vous de juger.


Un rappel important: ce blog est ''libre''


Le ''Blog de chasse au chevreuil à l'arc'' est libre, de tout commanditaire gouvernemental, institutionnel et/ou commercial, relié à la chasse au chevreuil à l'arc. C'est un rappel que ce ''blog'', est totalement indépendant, entend bien le demeurer. 

Comme propriétaire de ce ''blog libre'', je juge que c'est simplement une question d'éthique. C'est la notion d'éthique, qui doit imposer suffisamment de critères moraux aux éditeurs de textes sur les sites internet, pour leur permettre finalement de respecter leurs clientèles. 

C'était l'opinion du blogueur en ce 8 février 2019.

André Nanook Simard

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