La chasse au chevreuil pour les résidents du Québec est considéré comme la chasse des ''petits''. Pas parce que le chevreuil est plus petit que l'orignal, mais parce que l'effort de ''dollars'' est pas mal moins élevé que pour la chasse à l'orignal. Le chevreuil est tout prêt de nos maisons. Ça ne prend pas de moyens élaborés pour le chasser.
Il n'y a pas eu de communiqué pour la vente de permis de chasse au chevreuil. Les statistiques de ventes de permis n'ont même pas été publiées par le ministère.
Les ventes de permis de chasse au chevreuil connaissent un ''creux'' depuis l'année record de 2007 où il s'est vendu plus de 171 684 permis de chasse au chevreuil.
De plus, on comprend que le ministère fait pas mal plus d'argent avec les chasseurs d'orignaux, qu'avec les chasseurs de chevreuils. Les chasseurs d'orignaux dépensent en équipements et en voyages, pas mal plus que les chasseurs de chevreuils.
Le ministère ne veut pas que les populations de chevreuils augmentent au-delà de 5 chevreuils par kilomètre carré. C'est dit textuellement dans le Plan de gestion du cerf de Virginie. À cette densité, nous ne verrons jamais de record de récolte. La plupart des ''gagne-petits'' qui choisissent la chasse au chevreuil ''par défaut'', doivent donc prendre leur mal en patience, jusqu'à ce qu'ils aient les ''dollars'' nécessaires pour se payer une chasse fructueuse à l'orignal.
C'était l'opinion du blogueur en ce 24 janvier 2019.
André Nanook Simard
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