Profession à l'année
Pascal Fournier reçoit, depuis plus de 10 ans, des messages de jeunes, qui veulent devenir guide de chasse. Ce sont habituellement des jeunes, qui sont formés, parfois dans des Cegep avec des formations de qualité, dans le domaine de la gestion de territoire, ou de la protection de la faune. Mais il rencontre aussi des jeunes, qui ne savent pas dans quelle activité de formation s'engager, pour devenir guide de chasse.
Ce sont des jeunes, qui voient à la télévision des reportages, sur des guides de chasse. Ces guides, voyagent partout dans le monde, mais ne connaissent rien, à la réalité de ce métier : Guide de Chasse Professionnel.
Pascal Fournier, reçoit aussi des messages de guides débutants, ou de guides expérimentés, qui ne travaillent que deux ou trois mois par année, comme guides, dans des emplois sous-payés, parce que les services d'un guide au Québec, sont souvent considérés, comme des employés. Le guide au Québec, n'est juste qu'un exécutant qui doit pour vivre, cumuler d'autres emplois, le reste de l'année.
Les pourvoyeurs en ont-ils besoin ?
Certains guides, se sont investis dans des formations universitaires, mais comme disait, un pourvoyeur du Saguenay-Lac St-Jean, dans un séminaire, il y a quelques années: " Je ne cherche pas, quelqu'un qui a un doctorat, je cherche juste quelqu'un de compétent, et motivé pour guider mes clients, à la chasse ou à l'observation de la faune."
Ce pourvoyeur, avait une clientèle suffisante, pour faire vivre un guide. Mais il aurait eu besoin de ce guide, pour continuer à développer ses affaires. Comme il ne trouvait personne de compétent, il a envoyé un jeune employé-passionné, pour suivre une formation courte, mais adaptée à sa clientèle, plusieurs kilomètres, en dehors de sa région.
Pascal Fournier reçoit des messages, et des téléphones de guides, qui travaillent depuis plus de 20 ans, en forêt, qui connaissent bien leur territoire pour la chasse à l'orignal, et à l'ours, mais qui complètent leur saison avec la pêche. Ils disent tous: " Je ne sais pas me vendre, je suis pas formé, pour répondre aux demandes, des agences de voyages de chasse d'Europe, je n'ai pas assez travaillé, toutes ces années, pour avoir une pension correcte. Pourtant sur le terrain, j'ai passé des journées de 20 heures, au service des clients, avec de beaux résultats de chasse, et des clients qui reviennent à chaque année. ''À quel cours dois-je m'inscrire, pour compléter mes connaissances, et vivre correctement de ma passion'' ?
L'accueil de la clientèle européenne
Depuis quelques années, des pourvoiries du Québec, veulent développer l'accueil d'une clientèle européenne, pour des séjours longs. La clientèle américaine, qui prend un séjour de chasse à l'ours de 5 jours, mais qui rentre chez elle, au bout de trois jours, alors que l'animal est abattu, est moins intéressante que la clientèle européenne, qui vient passer 10 jours, avec un programme plus complet de chasse, et de tourisme.
La clientèle européenne, est plus intéressante monétairement pour le pourvoyeur, et pour sa région. Le séjour doit cependant être adapté, à la clientèle accueillie. Le mot ''clientèle européenne'' ne veut rien dire. La mosaïque de pays, et de cultures qui existe en Europe, implique un vrai travail de préparation, et d’adaptation dans le choix des clients.
Ces pourvoiries, doivent donc adapter accueil, hébergement, restauration et services à une clientèle venant de l'international. Ils ont besoin de guides de chasse professionnels, qui connaissent les besoins des clients. Avec des guides professionnels, qui ont des connaissances sur les techniques de chasse, des autres pays, ils pourront mieux adapter, leurs méthodes de guidage.
En Europe et en Afrique, il existe des corporations de ''Guides de Chasse Professionnels'', ce qui permet aux clients, et aux agences de voyage cynégétique, d'avoir des garanties d'éthique et de compétences, quand ils prennent des guides pour différentes destinations.
Un français en territoire africain
Pour l'exemple, un français qui désire aller chasser sur le continent Africain, appréciera de prendre un ''Guide de Chasse de l'ACP'', dont le siège social est en France, (Association des Chasseurs Professionnels qui pratique à l'international), sachant que si un problème se pose durant son safari, il pourra informer la commission d'éthique de l'ACP. Il sait surtout qu'il aura à son service, un Guide de Chasse Professionnel, compétent, certifié, déclaré et assuré, ce qui n'est pas le cas, de certains pseudos-guides.
Sur le continent Africain, de nombreux pays ont aussi leurs propres corporations de guides, avec des formations de longue durée, et des examens obligatoires, pour obtenir une licence de guide. Ce sont des corporations historiques, qui permettent de maintenir un haut niveau de professionnalisme, de protéger les guides natifs, en limitant la venue de guides extérieurs, et ainsi garantir aux agences internationales de voyages cynégétiques, un haut niveau de compétence.
Au Québec: des guides compétents
Au Québec, il n’existe pas de corporation, de guides de chasse professionnels. Certains diront pourquoi faire ? D'autres diront pourquoi pas ? Au Québec, il n'existe donc pas de structure indépendante, qui sélectionne, forme, assiste et certifie la profession de guide de chasse professionnel. Vous avez au Québec, des guides de haut niveau, reconnus par le public, comme de grands professionnels. Certains guides sont très médiatisés, et diffusent des émissions de télévision, et/ou participent à des magazines de chasse, pour valoriser la chasse et diffuser les bonnes techniques.
Mais vous avez aussi des guides moins compétents, parfois à l'éthique un peu plus floue, et qui font beaucoup de publicité. Vous avez des guides très compétents, qui savent répondre aux besoins des clients tout en restant discrets, mais qui sont connus par le bouche à oreilles. Vous avez des guides qui sont, comme chez certaines pourvoiries, non déclarées, très bons pour attirer et frauder les clients potentiels, mais totalement incompétents, sur le terrain.
Ils travaillent souvent sans assurance, et ont parfois appris à chasser la gélinotte, en pensant que ça leur a donné des compétences pour chasser l'orignal, et organiser des séjours de chasse à $4000. Dans une pourvoirie très connue, un responsable de chasse, n'avait même pas de carabine personnelle. Il disait aux clients ne pas vouloir trop vendre de chasse à l'orignal, parce que c'était trop fatiguant de sortir l'animal du bois, une fois abattu. C'était une pourvoirie familiale, qui voulait donner de l'ouvrage, à tous les membres de la famille, sans penser à leur compétence.
Il n'existe pas encore de corporation, de guides de chasse professionnels au Québec, mais il y a des personnes, dont Pascal Fournier, qui travaillent fort, pour en créer une. Ce qui représente la vraie priorité, présentement, c'est de revaloriser le métier de guide de chasse, en permettant à celles et ceux ,qui veulent en faire leur profession, de s'ouvrir au monde de la chasse à l'international. Au Québec, il y a déjà des professeurs compétents, qui peuvent les former, dans des cours adaptés.
Depuis plus de vingt ans, Pascal Fournier, travaille à développer des projets liés au plein air, et il voyage pour former et conseiller des guides de chasse, ou des professionnels de la Lutte Anti braconnage. Il a créé L'École de la forêt, et a commencé à développer ses activités à Ste Hedwidge de Roberval (Saguenay-Lac-Saint-Jean, au Québec). Pascal avait déjà pour projet, de créer le Programme École de guide, pour former des guides de chasse, et des guides fauniques en région, avec possibilité d'accueillir des élèves de différents pays.
Ce programme sert à former, et perfectionner des guides de chasse dans les domaines indispensables : connaissance de la faune, connaissance de la flore, les armes , les munitions, la balistique, le secourisme en milieu hostile, la cartographie, l'orientation, l'accueil du client, l'organisation du camp, la création d'un séjour, la cuisine (cuisine de plein air, mais aussi des cours de cuisine gastronomique) et bien d'autres disciplines.
Un consultant comme nul autre
Le statut de consultant de Pascal Fournier, lui permet d’être indépendant, et de travailler avec toutes les organisations, et les corporations de guides. Il lui permet surtout de ne pas être pris dans des obligations " politiques ", des querelles de clochers, entre organisations, ou avec d'autres structures gouvernementales ou privées. Il travaille à la fois sur le développement du tourisme cynégétique, faunique et écotouristique. Il créé des programmes de formation de guide de chasse, de guide faunique ou de ''ranger'' (Lutte Anti Braconnage) pour l'Amérique du Nord, l'Europe ou l'Afrique.
Pascal Fournier, travaille sur des projets pensés à court, moyen et long terme, et non des projets à très court terme, bâtis à coup de subventions. Pour adapter les projets, il reste à l'écoute des besoins des clients, à travers le réseau de veille cynégétique ''Diane'', avec ses correspondants, dans plus de 32 pays sur trois continents. Il demeure à l'écoute des demandes, et des besoins des municipalités, des MRC, des ATR et des pourvoiries, qui veulent développer de beaux projets, qui apporteront des retombées économiques dans leur région.
Pour 2014, Pascal Fournier, continuera à défendre l'idée que pour développer le tourisme cynégétique, au Québec, source économique importante pour la province, il faut renforcer la qualité, s'adapter au besoins existants sur le marché, et développer la formation des professionnels. Un guide québécois, aurait la possibilité de travailler une partie de l'année, comme guide de chasse au Québec, mais aussi à l'international. Il pourrait compléter cette activité, comme guide faunique, activité souvent réclamée par les touristes.
Il faut redonner au Québec sa place, dans le tourisme cynégétique. Le Québec est une destination de choix, pour de nombreux chasseurs européens. Le Québec doit redevenir, une destination de rêve !
En 2014 avec la participation de plusieurs partenaires, et commanditaires, Pascal Fournier, circulera dans plusieurs régions du Québec, pour continuer à développer la chasse commerciale, et informer les professionnels. Il souhaite vous y rencontrer, et travailler avec vous, pour donner à nos jeunes, le goût de rester au pays tout en pratiquant un métier de passion, un métier qui fait rêver: Guide de Chasse
On peut rejoindre Pascal sur Facebook: https://www.facebook.com/pascal.fournier.7?fref=ts
ou sur son site internet : www.guideexpert.org
ou encore par courriel à : pfournierconsultant@wanadoo.fr
Article original écrit par: Pascal Fournier.
Pascal Fournier
Consultant - Tourisme cynégétique et Faunique
Programme Ecole de Guide & FILAB (Anti Braconnage)
Promoteur de L'Ecole de la foret
Guide de Chasse Professionnel ACP
Les pourvoyeurs en ont-ils besoin ?
Certains guides, se sont investis dans des formations universitaires, mais comme disait, un pourvoyeur du Saguenay-Lac St-Jean, dans un séminaire, il y a quelques années: " Je ne cherche pas, quelqu'un qui a un doctorat, je cherche juste quelqu'un de compétent, et motivé pour guider mes clients, à la chasse ou à l'observation de la faune."
Ce pourvoyeur, avait une clientèle suffisante, pour faire vivre un guide. Mais il aurait eu besoin de ce guide, pour continuer à développer ses affaires. Comme il ne trouvait personne de compétent, il a envoyé un jeune employé-passionné, pour suivre une formation courte, mais adaptée à sa clientèle, plusieurs kilomètres, en dehors de sa région.
Pascal Fournier reçoit des messages, et des téléphones de guides, qui travaillent depuis plus de 20 ans, en forêt, qui connaissent bien leur territoire pour la chasse à l'orignal, et à l'ours, mais qui complètent leur saison avec la pêche. Ils disent tous: " Je ne sais pas me vendre, je suis pas formé, pour répondre aux demandes, des agences de voyages de chasse d'Europe, je n'ai pas assez travaillé, toutes ces années, pour avoir une pension correcte. Pourtant sur le terrain, j'ai passé des journées de 20 heures, au service des clients, avec de beaux résultats de chasse, et des clients qui reviennent à chaque année. ''À quel cours dois-je m'inscrire, pour compléter mes connaissances, et vivre correctement de ma passion'' ?
L'accueil de la clientèle européenne
Depuis quelques années, des pourvoiries du Québec, veulent développer l'accueil d'une clientèle européenne, pour des séjours longs. La clientèle américaine, qui prend un séjour de chasse à l'ours de 5 jours, mais qui rentre chez elle, au bout de trois jours, alors que l'animal est abattu, est moins intéressante que la clientèle européenne, qui vient passer 10 jours, avec un programme plus complet de chasse, et de tourisme.
La clientèle européenne, est plus intéressante monétairement pour le pourvoyeur, et pour sa région. Le séjour doit cependant être adapté, à la clientèle accueillie. Le mot ''clientèle européenne'' ne veut rien dire. La mosaïque de pays, et de cultures qui existe en Europe, implique un vrai travail de préparation, et d’adaptation dans le choix des clients.
Ces pourvoiries, doivent donc adapter accueil, hébergement, restauration et services à une clientèle venant de l'international. Ils ont besoin de guides de chasse professionnels, qui connaissent les besoins des clients. Avec des guides professionnels, qui ont des connaissances sur les techniques de chasse, des autres pays, ils pourront mieux adapter, leurs méthodes de guidage.
En Europe et en Afrique, il existe des corporations de ''Guides de Chasse Professionnels'', ce qui permet aux clients, et aux agences de voyage cynégétique, d'avoir des garanties d'éthique et de compétences, quand ils prennent des guides pour différentes destinations.
Un français en territoire africain
Pour l'exemple, un français qui désire aller chasser sur le continent Africain, appréciera de prendre un ''Guide de Chasse de l'ACP'', dont le siège social est en France, (Association des Chasseurs Professionnels qui pratique à l'international), sachant que si un problème se pose durant son safari, il pourra informer la commission d'éthique de l'ACP. Il sait surtout qu'il aura à son service, un Guide de Chasse Professionnel, compétent, certifié, déclaré et assuré, ce qui n'est pas le cas, de certains pseudos-guides.
Sur le continent Africain, de nombreux pays ont aussi leurs propres corporations de guides, avec des formations de longue durée, et des examens obligatoires, pour obtenir une licence de guide. Ce sont des corporations historiques, qui permettent de maintenir un haut niveau de professionnalisme, de protéger les guides natifs, en limitant la venue de guides extérieurs, et ainsi garantir aux agences internationales de voyages cynégétiques, un haut niveau de compétence.
Au Québec: des guides compétents
Au Québec, il n’existe pas de corporation, de guides de chasse professionnels. Certains diront pourquoi faire ? D'autres diront pourquoi pas ? Au Québec, il n'existe donc pas de structure indépendante, qui sélectionne, forme, assiste et certifie la profession de guide de chasse professionnel. Vous avez au Québec, des guides de haut niveau, reconnus par le public, comme de grands professionnels. Certains guides sont très médiatisés, et diffusent des émissions de télévision, et/ou participent à des magazines de chasse, pour valoriser la chasse et diffuser les bonnes techniques.
Mais vous avez aussi des guides moins compétents, parfois à l'éthique un peu plus floue, et qui font beaucoup de publicité. Vous avez des guides très compétents, qui savent répondre aux besoins des clients tout en restant discrets, mais qui sont connus par le bouche à oreilles. Vous avez des guides qui sont, comme chez certaines pourvoiries, non déclarées, très bons pour attirer et frauder les clients potentiels, mais totalement incompétents, sur le terrain.
Ils travaillent souvent sans assurance, et ont parfois appris à chasser la gélinotte, en pensant que ça leur a donné des compétences pour chasser l'orignal, et organiser des séjours de chasse à $4000. Dans une pourvoirie très connue, un responsable de chasse, n'avait même pas de carabine personnelle. Il disait aux clients ne pas vouloir trop vendre de chasse à l'orignal, parce que c'était trop fatiguant de sortir l'animal du bois, une fois abattu. C'était une pourvoirie familiale, qui voulait donner de l'ouvrage, à tous les membres de la famille, sans penser à leur compétence.
Corporation québécoise des guides de chasse
Depuis plus de vingt ans, Pascal Fournier, travaille à développer des projets liés au plein air, et il voyage pour former et conseiller des guides de chasse, ou des professionnels de la Lutte Anti braconnage. Il a créé L'École de la forêt, et a commencé à développer ses activités à Ste Hedwidge de Roberval (Saguenay-Lac-Saint-Jean, au Québec). Pascal avait déjà pour projet, de créer le Programme École de guide, pour former des guides de chasse, et des guides fauniques en région, avec possibilité d'accueillir des élèves de différents pays.
Ce programme sert à former, et perfectionner des guides de chasse dans les domaines indispensables : connaissance de la faune, connaissance de la flore, les armes , les munitions, la balistique, le secourisme en milieu hostile, la cartographie, l'orientation, l'accueil du client, l'organisation du camp, la création d'un séjour, la cuisine (cuisine de plein air, mais aussi des cours de cuisine gastronomique) et bien d'autres disciplines.
Un consultant comme nul autre
Le statut de consultant de Pascal Fournier, lui permet d’être indépendant, et de travailler avec toutes les organisations, et les corporations de guides. Il lui permet surtout de ne pas être pris dans des obligations " politiques ", des querelles de clochers, entre organisations, ou avec d'autres structures gouvernementales ou privées. Il travaille à la fois sur le développement du tourisme cynégétique, faunique et écotouristique. Il créé des programmes de formation de guide de chasse, de guide faunique ou de ''ranger'' (Lutte Anti Braconnage) pour l'Amérique du Nord, l'Europe ou l'Afrique.
Pascal Fournier, travaille sur des projets pensés à court, moyen et long terme, et non des projets à très court terme, bâtis à coup de subventions. Pour adapter les projets, il reste à l'écoute des besoins des clients, à travers le réseau de veille cynégétique ''Diane'', avec ses correspondants, dans plus de 32 pays sur trois continents. Il demeure à l'écoute des demandes, et des besoins des municipalités, des MRC, des ATR et des pourvoiries, qui veulent développer de beaux projets, qui apporteront des retombées économiques dans leur région.
Pour 2014, Pascal Fournier, continuera à défendre l'idée que pour développer le tourisme cynégétique, au Québec, source économique importante pour la province, il faut renforcer la qualité, s'adapter au besoins existants sur le marché, et développer la formation des professionnels. Un guide québécois, aurait la possibilité de travailler une partie de l'année, comme guide de chasse au Québec, mais aussi à l'international. Il pourrait compléter cette activité, comme guide faunique, activité souvent réclamée par les touristes.
Il faut redonner au Québec sa place, dans le tourisme cynégétique. Le Québec est une destination de choix, pour de nombreux chasseurs européens. Le Québec doit redevenir, une destination de rêve !
En 2014 avec la participation de plusieurs partenaires, et commanditaires, Pascal Fournier, circulera dans plusieurs régions du Québec, pour continuer à développer la chasse commerciale, et informer les professionnels. Il souhaite vous y rencontrer, et travailler avec vous, pour donner à nos jeunes, le goût de rester au pays tout en pratiquant un métier de passion, un métier qui fait rêver: Guide de Chasse
On peut rejoindre Pascal sur Facebook: https://www.facebook.com/pascal.fournier.7?fref=ts
ou sur son site internet : www.guideexpert.org
ou encore par courriel à : pfournierconsultant@wanadoo.fr
Article original écrit par: Pascal Fournier.
Pascal Fournier
Consultant - Tourisme cynégétique et Faunique
Programme Ecole de Guide & FILAB (Anti Braconnage)
Promoteur de L'Ecole de la foret
Guide de Chasse Professionnel ACP
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