Une activité de passion
La chasse mobilise plus de 400 000 participants à chaque année dans notre province. Très populaire, elle s’exerce sur l’ensemble du territoire. Longtemps seul dans les bois, le chasseur voit aujourd’hui arriver de nouveaux venus de la ville. Ces nouveaux arrivés sont assoiffés de nature face à l’urbanisation croissante.
La chasse mobilise plus de 400 000 participants à chaque année dans notre province. Très populaire, elle s’exerce sur l’ensemble du territoire. Longtemps seul dans les bois, le chasseur voit aujourd’hui arriver de nouveaux venus de la ville. Ces nouveaux arrivés sont assoiffés de nature face à l’urbanisation croissante.
En outre, la chasse au grand gibier s’est considérablement développée autour des villes, grâce à l'arrivée en grand nombre des cerfs de Virginie, communément appelés chevreuils au Québec.
La FédéCP (Fédération Québécoise des Chasseurs et Pêcheurs) avec ses organismes membres, a mis en place un réseau bien structuré de cours qui traite principalement de la sécurité à la chasse. Nul ne peut acheter un permis au Québec, sans avoir réussi les cours de ses organismes.
Les cours ont fait leurs preuves
La sécurité à la chasse a longtemps été uniquement une affaire de chasseurs. Mais de nos jours elle doit être organisée, dans un cadre de plus en plus partagé avec d'autres usagers de la nature. Acteur naturel et historique du territoire forestier et rural, le chasseur doit maintenant satisfaire à des règlementations de plus en plus contraignantes.
Pourquoi n'en serait-il pas ainsi pour tous les usagers de la nature ? Pourquoi ne pas instituer un cours sur la sécurité pour les autres usagers des rivières et de la forêt ?
À la suite des cours sur la sécurité des armes à feu, ainsi que les avancés énormes sur la sécurité des postes d'affut pour l'arc et l'arbalète, il apparaît clairement que la chasse, est devenue une activité où il n'y a que très peu d'accidents.
Compte tenu qu'il s'est récolté 58 543 chevreuils, 20 549 orignaux et 4 778 ours pendant la dernière saison de chasse 2012, il convient de féliciter chaleureusement les chasseurs pour leur prudence. Au Québec, il y a vraiment une culture de la sécurité à la chasse.
C'est l'opinion du bloggeur
André Nanook Simard
La FédéCP (Fédération Québécoise des Chasseurs et Pêcheurs) avec ses organismes membres, a mis en place un réseau bien structuré de cours qui traite principalement de la sécurité à la chasse. Nul ne peut acheter un permis au Québec, sans avoir réussi les cours de ses organismes.
Les cours ont fait leurs preuves
La sécurité à la chasse a longtemps été uniquement une affaire de chasseurs. Mais de nos jours elle doit être organisée, dans un cadre de plus en plus partagé avec d'autres usagers de la nature. Acteur naturel et historique du territoire forestier et rural, le chasseur doit maintenant satisfaire à des règlementations de plus en plus contraignantes.
Pourquoi n'en serait-il pas ainsi pour tous les usagers de la nature ? Pourquoi ne pas instituer un cours sur la sécurité pour les autres usagers des rivières et de la forêt ?
À la suite des cours sur la sécurité des armes à feu, ainsi que les avancés énormes sur la sécurité des postes d'affut pour l'arc et l'arbalète, il apparaît clairement que la chasse, est devenue une activité où il n'y a que très peu d'accidents.
Compte tenu qu'il s'est récolté 58 543 chevreuils, 20 549 orignaux et 4 778 ours pendant la dernière saison de chasse 2012, il convient de féliciter chaleureusement les chasseurs pour leur prudence. Au Québec, il y a vraiment une culture de la sécurité à la chasse.
C'est l'opinion du bloggeur
André Nanook Simard
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