De nos jours le chasseur de chevreuil à l'arc, qui prépare sa chasse n'a que quelques jours par année. Il n'a pas le temps de passer beaucoup de temps en prospection, parce qu'il n'a que quelques jours de vacances à chaque année.
C'est aussi dans ce genre de situation que se retrouvent les biens nantis et/ou les hauts salariés. Ils veulent se prouver qu'ils ont encore leur place comme chasseurs. Ils vont chasser chez des pourvoyeurs, où il sont accueillis par des guides expérimentés, qui les guident vers un chevreuil avec un gros panache.
Ce n'est plus de la chasse
Quand un chasseur veut aller dans des endroits où le chevreuil est abondant et qu'ils n'ont vraiment pas peur des humains, à l'île Anticosti ou dans l'ouest du Canada (Alberta ou Saskatchewan), c'est sans doute la même chose que d'aller tirer un chevreuil dans un enclos. Je me demande pourquoi ces chasseurs, ne vont pas tout simplement chercher leur viande ''exotique'' déjà emballé chez Métro.
C'est comme les chasseurs, qui mettent des appâts et/ou des leurres. Dans le fonds ce n'est plus de la chasse, c'est comme récolter des fruits et des légumes dans un verger ou un jardin. Ce n'est plus de la chasse.
C'était l'opinion du bloggeur en ce 13 décembre 2014.
André Nanook Simard
Aucun commentaire:
Publier un commentaire