17 janv. 2015

Best of the best (6): les articles les plus lus

Les articles ayant le plus de lecteurs

Voici le sixième article des articles les plus lus, avec 5435 lecteurs qui ont visionné l'article. (Best of the best). Cet article a été publié le 13 juin 2013. Il y aura plus de 15 articles sur les ''best of the best.''




Le chasseur connaît son milieu naturel

La raréfaction progressive des chasseurs pose un réel problème. Les chasseurs de chevreuils ont perdu presque 20 000 de leurs membres depuis 2007. 




Le territoire a en effet besoin de leurs activités prédatrices, car le Québec n'a pas assez de prédateurs comme les loups, les coyotes et les lynx pour contrôler les populations de grands gibiers (orignal, chevreuils et ours).


Sans oublier les  chevreuils de plus en plus nombreux, qu'aucun autre prédateur que le chasseur québécois résident ne peut contenir. Sans chasseur, la nature court le risque de connaître des disparitions trop nombreuses d'espèces végétales.

Qu'on l'apprécie ou que l’on déplore ses abus la chasse est nécessaire, afin que les petits et les grands animaux sauvages ne dévorent toutes les plantes et les arbustes, et instaurent ainsi de graves déséquilibres écologiques.


Le Québec a besoin de ses chasseurs
 

Le territoire du Québec a besoin de ses chasseurs. De bons chasseurs qui connaissent leur milieu naturel, pour pouvoir prélever le gibier de façon intelligente. 




Tendre un collet pour attraper un lièvre, prend beaucoup plus d’intelligence et de connaissance de la nature, que pour apprendre à se promener à bicyclette dans les rues achalandées de la ville. 

 Ce n'est pas en milieu urbain mais en milieux populaires ruraux, qu'il faut s'adresser pour recruter les nouveaux chasseurs.

C'était l'opinion du bloggeur.

André Nanook Simard


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