29 nov. 2014

La paranoïa collective pour le registre

La peur collective

Ici comme ailleurs, la paranoïa collective des députés du gouvernement du Québec est garante de l'épanouissement de l'idée d'un registre fonctionnel des armes à feu. Plus la population devient craintive et peureuse des armes à feu, plus elle ressentira le besoin d'être protégée contre les diverses menaces, que représentent les armes à feu pour sa propre sécurité.




Parmi les organismes publics qui sont supposés jouer ce rôle de protecteur, l'on retrouve les divers partis politiques et les corps policiers, qui sont en faveur du registre des armes à feu, dont la raison d'être consiste justement à identifier les personnes (chasseurs) qui possèdent des armes à feu. Les promoteurs du registre ont tout intérêt à veiller à ce que le climat de peur ne cesse jamais d'être alimenté.

La chasse: une activité ancestrale



Rares sont en effet les Québécois qui se sentent craintifs au point d'apporter des changements à leurs habitudes de vie, car la chasse fait réellement partie de nos traditions ancestrales. Dans un tel contexte, les membres du groupement de la ''Coalition pour le contrôle des armes à feu'' et de ''Polysesouvient'' et sa porte-parole Madame Heidi Rathjen, doivent nécessairement redoubler d'ardeur et mettre les bouchées doubles, afin que le public québécois ne soit pas épargné, par cette crainte contagieuse de la menace des armes à feu.



Pour remédier à cette nonchalance typiquement Québécoise, il va de soi que le grand public, doit être informé régulièrement de l'évolution de ce péril permanent, que constitue la menace des armes à feu. Il incombe dès lors aux médias de masse, de ne jamais rater une opportunité de rappeler à la population québécoise, qu'elle n'est pas immunisée contre les armes à feu.

L'organisme: ''Polysesouvient''

Pour ''Polysesouvient'' et ses fidèles sympathisants, ainsi que les membres de la ''Coalition pour le contrôle des armes à feu'', il est crucial de ne ménager aucun effort, afin de développer et de promouvoir une mentalité de peur au sein de l'opinion publique.



Ne reculant devant aucune entorse à l'éthique, les membres de la ''Coalition pour le contrôle des armes à feu'' et le groupement ''Polysesouvient'', manipulent souvent l'opinion publique via les médias de masse. ''Polysesouvient'' et la ''Coalition'' lancent régulièrement des déclarations-chocs, dont la véracité est souvent invérifiable, mais qui généreront à coup sûr des manchettes sensationnalistes. Cela étant dit, les déclarations du porte-parole de ''Polysesouvient'' (Mme Heidi Rathjen), aussi fracassantes soient-elles, sont généralement insuffisantes pour exercer un impact durable sur l'opinion publique.



Bien entendu, les manipulations de l'opinion publique sont grandement facilitées, lorsque la porte-parole de ''Polysesouvient'' parvient à tisser des liens étroits avec les membres les plus complaisants, de la galerie de la presse et/ou du gouvernement du Québec.

Il est inutile de dire que ''Polysesouvient'' et que la ''Coalition'' disposent, de leurs propres informateurs dans le milieu des médias, et sont dans une position idéale pour gonfler artificiellement, l'ampleur de certains phénomènes concernant les armes à feu. Lorsque les médias de masse deviennent clairement partie prenante, des odieuses supercheries conçues par ''Polysesouvient'' et/ou par la Coalition, les journalistes se font bêtement avoir, ou bien ils sont les complices des ignobles manigances de ces organisations.

À ma connaissance, aucun des grands quotidiens montréalais n'a publié d'éditorial à ce sujet, ainsi qu'aucun réseau de télévision francophone n'a consacré du temps d'antenne à cet aspect scandaleux. Depuis quelques années, la presse et les stations de télévision francophones, considèrent Mme Heidi Rathjen comme une source parfaitement crédible (sic), faisant autorité sur les questions touchant de près ou de loin aux armes à feu, alors que pour les chasseurs et les propriétaires d'armes à feu, elle n'y connaît absolument rien.

C'était l'opinion du bloggeur en ce 29 novembre 2014.

André Nanook Simard  

P.S.: J'ai voulu exprimer juste mon petit 2%, avant le jugement de la Cour Suprême sur le registre des armes à feu.

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