16 mai 2015

Le ''feeling'' de la chasse

Je suis émerveillé

Je suis toujours émerveillé quand je vois un chevreuil. La vue d'un chevreuil a vite fait de déclencher une poussée d'adrénaline dans mes veines de chasseur.



La chasse, c'est souvent souhaiter une occasion de tir. La chasse au chevreuil à l'arc, c'est le défi d'affronter un animal sauvage, doté de sens super-développés par la nature. La chasse est une occasion de renouer avec des amis qui partagent la même passion.

Connaître le terrain

Je prétend connaître le terrain, mais le chevreuil y vit à l'année et le connaît sûrement mieux. C'est lorsque je crois avoir percé ses déplacements, que le chevreuil démontre sa  capacité extra-sensorielle pour éviter le chasseur. Le chevreuil est probablement l'animal le plus imprévisible qui existe.


Le plein-air a tellement à offrir aux chasseurs, qu'il est important de ne pas manquer d'occasion d'en profiter pleinement.

Une admiration sans borne


J'offre aux chevreuils que je chasse une admiration sans borne. C'est comme un rite sacré qui m'amène dans la forêt à chaque année.

La chasse est un passe-temps plus émotionnel que physique. La majeure partie du plaisir qu'elle procure, provient surtout de l'anticipation profondément ressentie. 




Le chasseur prends un plaisir intense à s'entrainer régulièrement, pour raffiner à la limite ses habiletés de tireur à l'arc. Le chasseur aime profondément le contact avec la nature sauvage qui s'offre à lui à chaque saison de chasse.

Je chasse parce que j'en ressens le besoin. C'est quelque chose qu'on m'a transmis de génération en génération dans ma famille. Chasser est une émotion, décrite par certains comme une expérience interne profonde.

Devant cette expérience profonde, la récolte d'un chevreuil devient la plupart du temps assez secondaire. 

C'était l'opinion du bloggeur en ce 16 mai 2015.

André Nanook Simard

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