Le Québec continue d’enregistrer une baisse considérable du taux de criminalité. Une nouvelle étude britannique, révèle qu'un contact avec la nature sauvage, apporte moins de criminalité au niveau local. La chasse, à cause de sa proximité à la nature, peut réduire le taux de criminalité même si elle est faite avec une arme à feu.
Les politiciens québéçois
La présence d'espaces verts où la nature est toujours présente, dans les villes contribue à une réduction de 4% de la criminalité, selon cette étude qui a été publiée dans l'édition de novembre 2015 de la revue BioScience.
Cette étude dit essentiellement, que de nombreuses études ont déjà démontré, que nature et niveau de bien-être étaient étroitement liés, mais cette étude d'envergure est la première à mettre en corrélation, nature et taux de criminalité.
L'incidence positive de la nature peut décourager le crime, même dans des endroits où les facteurs de risque socio-économiques (pauvreté) sont plus faibles. De telles conclusions frappantes pourraient encourager les autorités publiques (les députés du Québec) à améliorer le contact avec la nature pour les jeunes, comme les cours d'initiation à la chasse.
J'espère que les députés de l'Assemblée Nationale se rendront compte, qu'il existe différents moyens de diminuer la criminalité, autre que le Registre des armes à feu.
C'était l"opinion du blogueur en ce 28 novembre 2015.
André Nanook Simard
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