29 juill. 2016

Un feu ardent inassouvi

Le récit de la dernière chasse

À chaque fois que je rencontre un chasseur de chevreuil à l'arc, nous parlons aussi du comportement de certains chevreuils. Nous parlons ensuite de nos familles. 




Nous essayons de décrire avec précision l'endroit où nous établissons notre camp pour la saison de chasse.

Une passion ardente

Comme chasseur de chevreuil, nous connaissons tous cette passion ardente,  qui brûle à l'intérieur de nous. Elle nous pousse à chaque automne, à chasser le chevreuil à l'arc.


Je connais exactement ce genre de réaction, puisqu'à chaque automne depuis plus de 25 ans, je pratique la chasse à l'arc. Compte tenu que j'ai eu 72 ans, elle s'inquiète pour moi, à chaque fois que je sors en forêt pour la prospection, ou pour la saison de chasse elle-même.

J'ai essayé de ne pas y aller, mais je ne vais pas vous expliquer ce qui se passe, dans le coeur et l'esprit d'un chasseur de chevreuil à l'arc, à chaque fois que le mois de septembre s'annonce au Québec.

Rien ne nous arrête

La passion qui nous anime, se fiche bien du froid et/ou de la pluie. Peu importe la température, nous sommes sur place à la chasse, avec notre arc.


D'ailleurs les meilleurs souvenirs de nos chasses passées, proviennent de ces  jours, où nous pouvions nous déclarer ''présents''. Elles représentent notre ''passion'' comme les gens la considèrent.

C'était l'opinion du blogueur en ce 29 juillet 2016.

André Nanook Simard

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